COUPE CANADA EST 2023
Du 23 au 25 juin
Rencontrer des personnes formidables
La Coupe Canada Est 2023 sera tenue à Laval
au Parc Lévis-Paquette
Merci à tous les participants
Pour plus de détails
coupecanadaest2023@gmail.com

Président d'honneur

Jeannot Robitaille
L’ancien archer et double olympien Jeannot Robitaille était parmi les meilleurs au pays à l’époque où l’expression athlète amateur prenait sa pleine mesure.
Retour sur la carrière d’un grand du tir à l’arc québécois qui compte aussi deux présences aux Championnats du monde et une aux Jeux panaméricains.
« J’avais du plaisir à faire du tir à l’arc », se souvient celui qui a fait ses débuts compétitifs en 1988, alors qu’il était au début de la trentaine. « Quand j’ai commencé, mon but était de voir jusqu’où je pouvais aller en tir à l’arc. La seule compétition où tous les plus forts sont là, c’est les Jeux olympiques. »
Pour atteindre ce but, Jeannot Robitaille a commencé par vouloir être le meilleur de son club où il a fait la rencontre de celui qui allait devenir son mentor, Paul Fontaine.
À peine quatre ans plus tard, Robitaille représentait le Canada aux Jeux olympiques de Barcelone.
Baptême olympique
Diminué par une otite séreuse à son arrivée en Catalogne, l’archer termine 71e sur 74 participants à ses premiers Jeux olympiques.
L’athlète a mis les bouchées doubles et c’est mieux préparé et en santé qu’il s’est présenté à Atlanta, quatre ans plus tard, pour signer la meilleure performance canadienne, une 38e place.
Jeannot Robitaille a arrêté la compétition de haut niveau à la suite d’une blessure à une épaule qui s’est développée après une chute à vélo en 1996. Il a toutefois continué à être précis comme en fait foi son record du monde de 298 points, réalisé en juillet 2003 à Québec, à l’épreuve de l’individuel 90 mètres extérieur (36 flèches), arc recourbé, dans la catégorie des maîtres.
La technologie au service du sport
S’il y a un outil que Jeannot Robitaille aurait aimé avoir à sa disposition pendant sa carrière, c’est bien le LABOTAQ*.
Essai du LABOTAQ
Il s’agit d’un système de caméras à haute vitesse qui est jumelé à des plaques de pression électronique au sol et à des capteurs sensoriels pour enregistrer les paramètres de l’athlète en action.
« J’ai participé aux premiers essais de l’appareil et je suis impressionné ! » révèle l’olympien.
On est loin des essais et erreurs des années 1990 pour essayer de reproduire des sensations à chaque flèche tirée !
Une chose ne changera pas malgré la technologie selon lui : « Tu es tout seul avec toi-même. Ma grosse force, c’était ma concentration. »
lisez le texte intégral: https://mailchi.mp/c7294f067a7c/infotaq-mai-juin2020